J’AI TESTÉ : EPILODERM, L’ÉPILATION À LA CIRE QUI NE FAIT PAS MAL
En retirant les bandes dans le sens de la pousse du poil (contrairement à la méthode classique), la praticienne évite les douleurs habituelles et les poils incarnés. En tout cas, c’est ce que promet la technique brevetée Epiloderm.
Alors, mal ou pas mal ? Je vous raconte mon test en institut.
Qui a déjà sauté de joie à l’évocation d’une séance d’épilation à la cire ? J’y suis toujours allée à reculons, alors quand on m’a proposé d’essayer Epiloderm, une méthode (quasiment) sans douleur, j’ai couru dans l’un des 3000 instituts partenaires (Calvin & Lane à Bordeaux en l’occurrence) pour le vérifier avec ma propre sensibilité cutanée. Je connaissais peu cette marque française utilisée par les pros de la beauté.
Sa spécialité ?
Une épilation avec des bandes de cire d’origine végétale arrachées dans le sens de pousse des poils, une technique totalement à contre-courant (oserais-je dire à rebrousse-poil ?) de l’épilation classique ! Partant du constat que cette dernière avait tendance à casser le poil, Sandrine Azoulay, la créatrice d’Epiloderm a développé ses propres cires et sa propre méthode en deux temps : un premier passage dans le sens de la pousse, puis un second passage dans le sens inverse pour saisir le duvet et assurer une repousse plus lente.
La promesse ?
Une physiologie du poil respectée, moins de sensation de chauffe et, en prime, une diminution progressive du système pileux. Je booke donc illico un rendez-vous pour dégarnir aisselles, demi-jambes et maillot (tant qu’à faire).